Des observateurs attirent l’attention des populations de la Confédération AES sur un éventuel renforcement des plans de déstabilisation par la France qui est en chute libre dans la région du Sahel. Pour eux il faut de la Vigilance et de la prudence face à ce déclin cuisant que connait ces derniers années la France dans le Sahel. La suprématie française en Afrique étant menacée par les ruptures des accords de défense dans plusieurs pays, des revanches peuvent se multiplier.
Déjà les pays membres de la Confédération AES sont menacés de déstabilisation depuis l’arrivée au pouvoir des régimes militaires populaires et révolutionnaires, anti impérialistes et néocolonialistes. Le mois de décembre serait d’ailleurs considéré comme une période ultime de l’année 2024 pour la France et ses alliés dans les projets de déstabilisation. Vient s’ajouter le stress engendré ces derniers jours par la surprise de la République du Tchad mettant au dehors elle aussi, les troupes françaises.
Selon les observateurs ce stress peut toutefois augmenter la colère des autorités françaises qui cherchent à maintenir à tout prix leur influence en Afrique. Il faut rappeler que des alertes se multiplient depuis le début du mois de Novembre écoulé sur des projets de déstabilisation des pays de l’AES, notamment en ce mois de décembre. Les exécuteurs engagés par la DGSE française seraient même déjà à l’œuvre à l’intérieur ou à l’extérieur de ses pays.
Les groupes terroristes sont mis à contribution et ont la charge de multiplier des attaques dans diverses localités de ces pays afin de démobiliser les peuples, de démoraliser et démotiver les forces combattantes. Ceci leur permettrait selon les informations, d’atteindre leur but, la chute des régimes patriotes qui se sont engagés au service des peuples et pour la défense des intérêts de leurs pays.
Seule la vigilance selon des observateurs, pourra permettre de contrer une fois de plus ces plans et de sauver les leaders révolutionnaires pour la suite de la marche vers la souveraineté, la liberté et la prospérité.
Théodore M.