par Awa TOURE 
Le Burkina Faso du capitaine Ibrahim TRAORE fait face ces derniers moments il faut le souligner, à une manœuvre diabolique orchestrée par les ennemis de la Nation. De fausses informations aux diffamations en passant par les tentatives de soutien et de légitimation des groupes armés terroristes, le pays des hommes intègres en général, ses dirigeants ainsi que les forces combattantes, restent la cible principale des impérialistes et néocolonialistes.
Pour certains analystes, ces agissements exécutés minutieusement par les médias complices et instruments des maîtres impérialistes, annoncent certainement un plan machiavélique contre le Burkina Faso. L’affaire de massacre des civils peuls à Solenzo inventée et colportée par ces médias (JeuneAfrique, FRI, France24, le Monde…), appuyé par l’ONG Human Rights Watch ;
Les sorties récentes des alliés comme Newton Ahmed Barry et Marwane Ben Yahmed de jeuneafrique fustigeant le chef de l’Etat burkinabè et galvanisant leurs hommes de main (terroristes) dans leurs actions criminelles ; sans oublier l’attitude suspicieux des représentants des agences du système des Nations Unies tendant à requalification des groupes armés terroristes, sont des signes annonciatrices d’un projet diabolique.
Les expériences d’autres pays comme la Libye, le Rwanda, la Centrafrique, le Soudan, ont montré qu’il ne faut jamais prendre à la légère ces agissements des médias français, des ONG dites défenseurs des droits de l’homme ainsi que des aigris qui s’impatientent face à la résistance et à la détermination d’un peuple. Selon des analystes ces ennemis veulent à tout prix accentuer l’insécurité en créant des conflits communautaires.
Face à un échec cuisant de l’option de déstabilisation du régime du capitaine Ibrahim TRAORE et face à une armée burkinabè de plus en plus puissante et déterminée, les ennemis cherchent à imposer au Burkina Faso un autre agenda. Une négociation avec les criminels. Ce qui leur permettra de protéger leurs alliés de la brousse, de les réorganiser et de renforcer leurs capacités. La vigilance s’impose donc pour tout burkinabè épris de paix et de souveraineté.
Damien G.