C’est le fort des médias impérialistes tel que JeuneAfrique. Le même média attribue à certains chefs d’Etat le titre de « putschiste ou de chef de la junte » et à d’autres, « président de la transition » pourtant, eux tous ont le même statut, non élus. Nous prenons en exemple, les présidents actuels du Burkina Faso et du Gabon qui sont traités différemment par le directeur de publication Marwane Ben Yahmed de JeuneAfrique.
Dans un récent récit, cet individu a désigné le président du Faso comme étant un véritable putschiste dictateur et chef de la junte incapable de faire face à la situation sécuritaire dans le pays des hommes intègres. « Il n’est qu’un vulgaire putschiste, un tyran de plus qui échoue dans sa mission. » a-t-il écrit dans son éditorial parlant du chef de l’Etat burkinabè. De l’autre côté, cet aliéné écrit sur son compte X, « notre interview exclusive du président de la transition du Gabon… » pour parler du Général Brice Oligui Nguema.
Pourquoi cette différence entre les dirigeants qui sont arrivés tous au pouvoir par un coup d’Etat ? Et bien la réponse est simple et connue de tous surtout quand ça vient d’un journal comme jeuneafrique et de quelqu’un tel que Marwane Ben Yahmed. Le capitaine Ibrahim TRAORE, président du Faso est la bête noire de ces alliés des terroristes et impérialistes. Il fait partie de ces dirigeants qui mettent à mal leurs plans diaboliques et à nu, leur stratégie d’escroquerie longtemps cachée.
Il faut rappeler que média est traité de mercenaire qui vie au dépend des dirigeants généreux et désireux de se faire passer pour des saints. JeuneAfrique en est capable tant qu’une grosse somme est en jeu. Ce média serait en train de courtiser le président de la transition du Gabon, d’où ces titres de séduction afin de pouvoir capturer la proie. Ce sont des médias qui n’ont aucune dignité et qui foulent au pied les règles régissant le métier du journalisme pour des intérêts égoïstes.
Sindja Douba