A l’annonce de la décision en Conseil des ministres de la poursuite de la collecte des contributions citoyennes pour renflouer les caisses du fonds de soutien patriotique, en vue du financement endogène de la guerre contre les ennemis de la brousse, les citoyens burkinabè épris de la paix et de la sécurité ont exprimé leur accord. Des burkinabè sont toujours prêts à plus de sacrifices pour soutenir les efforts des autorités et des combattants engagés sur le terrain.

Ceci témoigne selon des opinions, de la confiance que ces citoyens ont pour leurs autorités. Le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE a décidé il faut le rappeler, du financement endogène de la guerre afin d’éviter des dettes pour le pays ou se passer des conditions excessives des institutions financières. Il s’est engagé à motiver ses compatriotes expliquant le bien-fondé de cette stratégie de lutte contre le terrorisme dans le pays.

Après deux (02) années d’expériences, ce fonds de soutien se présente aujourd’hui comme un véritable mécanisme de gestion des dépenses importantes pour l’intérêt général du pays. C’est un mécanisme qui bénéficié à ce jour d’une adhésion massive des citoyens de l’intérieur et de la diaspora, ce qui a permis d’ailleurs de renforcer les capacités opérationnelles des combattants, suivi des résultats palpables et encourageants sur le terrain.

Les actes parlant mieux que des paroles, les burkinabè sont désormais convaincus de la bonne gestion de ces ressources par les autorités et sont prêts à consentir plus de sacrifices pour la reconquête de l’intégralité du territoire national, la restauration rapide de la paix et de la sécurité.

Germaine M.

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