Déterminé à transformer structurellement l’économie togolaise, en vue de la réduction de la pauvreté et de l’accélération du processus de développement socioéconomique de son pays, le président du Togo, chef de l’Etat Faure Essozimna GNASSINGBE et son gouvernement se sont engagés fermement dans une politique d’amélioration du climat des affaires.
Une manière de dynamiser le secteur privé, moteur de la croissance économique en promouvant la création d’entreprises. Plusieurs réformes ont été opérées, permettant aux opérateurs économiques nationaux de créer et de développer facilement leurs activités économiques et aux étrangers d’investir et de s’installer sur le territoire togolais. Ce qui favorise la création chaque année de plusieurs entreprises au Togo, contribuant ainsi à la réduction du chômage et à la croissance de l’économie nationale.
Ces réformes économiques vont de la digitalisation des formalités de création d’entreprise, à la réduction du délai de procédures administratives. Des réformes ont été également réalisées renforçant aussi la protection juridique des entreprises installées au Togo. Selon le gouvernement togolais, la vision éclairée du chef de l’Etat Faure GNASSINGBE a permis d’améliorer le processus de délivrance de permis de construire, ainsi que le contrôle de la qualité des bâtiments.
Aussi, des mesures ont été prises, pour faciliter les démarches des sociétés pour l’obtention d’un lieu d’activités commerciales. Ce qui permet aux opérateurs économique de trouver facilement des emplacements pour leurs activités. C’est fort de ces réformes économiques en faveur de l’investissement et de la mobilisation du secteur privé, implémentées par le président togolais et de son gouvernement, que le Togo garde depuis 2020, sa place du premier pays réformateur dans la sous-région Ouest-africaine.
D’après le rapport du nouveau mécanisme d’évaluation du groupe de la Banque Mondiale ‘’Business Ready 2024’’, le Togo occupe le premier rang en Afrique de l’ouest, et le troisième rang en Afrique subsaharienne, avec une note globale de 61 points en matière de réformes économiques. Les autorités se sont engagées à poursuivre les réformes non seulement pour garder le cap du classement, mais également pour promouvoir et soutenir davantage des activités économiques, pour une économie togolaise forte et résiliente.
Bernadette Souba