Le prétendu journaliste d’investigation, le camerounais refugié en Côte d’Ivoire, Saïd Penda serait un véritable danger pour le parti au pouvoir RHDP du président Alassane Ouattara. Depuis son arrivée en Côte d’Ivoire, il passe son temps à élaborer des stratégies avec l’appuis de ses alliés, pour mieux réussir sa mission qui est de baliser la voie à une chute de ce régime.
La France déterminée à destitué le RHDP pour positionner un homme de confiance à la tête du pays afin d’y maintenir sa présence, Saïd Penda a été mis à contribution. Il est chargé selon les informations, de créer la diversion au sein de la population ivoirienne et particulièrement du parti RHDP afin de permettre à ses coéquipiers d’opérer clandestinement. Ces derniers mois sont des moments propices pour accentuer les actions subversives avant l’élection présidentielle d’octobre 2025.
Les sorties et les agissements récents sur les réseaux sociaux contre certaines personnalités ivoiriennes et des autorités du pays ne sont autres que des moyens pour porter atteinte à la dignité et de remettre en cause le pouvoir d’Alassane Ouattara. Il aurait déjà collecté assez d’informations sur le président et son entourage et n’attend que le moment favorable pour lâcher la bombe et assiéger complètement ce parti qui lui a fait confiance et lui a ouvert les portes depuis des années.
Il serait également un trouble-fête entre la Côte d’Ivoire et les pays de la Confédération AES. En collaboration avec les exilés burkinabè en Côte d’Ivoire notamment, Saïd Penda serait chargé d’attiser le feu entre ces pays frontaliers qui sont censés s’unir pour relever ensemble des défis qui s’imposent. D’après une enquête menée par des médias panafricanistes, Saïd Penda est payé par la DGSE pour aider à la déstabilisation de ces pays africains qui défendent leur souveraineté et prennent leur destin en main.
Des observateurs appellent donc à la vigilance et à la prudence face à ces genres d’individus qui passent leur temps à publier de fausses informations dans le but de semer le doute ou de créer la diversion ou encore la tension entre des peuples africains.
Alfred Kouassi