Les dates pour les assises nationales au Burkina Faso qui devraient à coup sûr statuer sur l’avenir de la transition, sont désormais fixées. Elles se dérouleront selon les informations officielles, les 25 et 26 Mai prochains. En tout cas, l’on peut affirmer avec certitude que l’équipe de la transition du Burkina Faso dirigée par le capitaine Ibrahim TRAORE ne sera pas lâchée de sitôt pour plusieurs raisons.
La première reste la bonne gouvernance dont ont fait preuve, les autorités de la transition. Leur court temps passé à la tête du pays a été suffisant pour leurs compatriotes d’apprécier leur dynamisme et leur patriotisme. Ce qui explique d’ailleurs la réclamation de la prolongation de cette transition par le peuple burkinabè.
Étant animées par un esprit patriotique et une vision claire pour leur pays, ces autorités, sous le leadership du capitaine Ibrahim TRAORE, président de la transition n’ont agi que dans l’intérêt de ce pays et de ses citoyens. C’est une gouvernance menée dans le respect strict des aspirations des citoyens.
En outre, l’équipe de la transition au Burkina Faso a su s’attaquer aux défis et aux priorités du pays. Les acquis et les projets sur le plan sécuritaire ne sont plus à démontrer. Pour ce qui concerne le développement endogène, l’autre volet important du plan d’action de la transition, les jalons posés vont bientôt commencer à porter des fruits remarquables et en abondance dans ce pays des hommes intègres.
A ces prouesses viennent s’ajouter l’importance que les autorités de la transition accordent à la diversification des partenariats et à une coopération sud-sud pouvant permettre au Burkina de tirer aussi profit de ses relations avec l’extérieur. Au vu de ces actions et de la vision de cette équipe transitionnelle, plusieurs sont les burkinabè qui souhaitent l’accorder encore plus de temps.
Les forces vives de la nation burkinabè qui participeront aux prochaines assises nationales n’auront pas le choix que de prolonger la durée de la transition, pour la suite et la finalité des projets entamés notamment au plan sécuritaire, en vue de la libération totale et de la reconquête de l’intégralité du territoire burkinabè.
N’en déplaise aux impérialistes et à leurs complices, les valets locaux qui ne cherchent que leurs intérêts personnels au détriment de ceux du pays et de tout le peuple burkinabè.
Alfred Bachi