Les ennemis jurés du Burkina Faso sont déterminés à créer une insécurité sans précédent à l’intérieur du pays notamment dans des villes jugées stratégiques et bien ciblées, afin de pouvoir atteindre leur but, celui de déstabiliser le régime en place, dirigé par le capitaine Ibrahim TRAORE. Les commanditaires l’ont clairement exprimé et c’est une nouvelle stratégie contre le peuple burkinabè.
Après des tentatives déjouées de coup de forces et bien d’autres manigances visant à renverser le pouvoir populaire du Capitaine Ibrahim TRAORE, les ennemis de la paix comptent désormais le dépopulariser en ternissant son image selon les preuves qui se sont retrouvées ces derniers jours sur la place publique. Ceci permettra enfin d’affaibli la transition. La stratégie consiste donc à semer du chaos dans les localités ciblées en massacrant civils et combattants.
Le drame du weekend dernier dans la commune de Barsalgho est un exemple palpable de ce que projettent les ennemis du Burkina Faso malheureusement avec l’implication des citoyens burkinabè civils comme militaires, résident à l’interne comme à l’extérieur du pays. Beaucoup d’autres villes sont visés telles que Kantcheri, Seytenga, Soudigui et Djibo, pour ne citer que celles-là.
L’histoire nous rappelle que cette même méthode avait été utilisée pour déstabiliser la République de Guinée au temps de Ahmed Sékou Touré, premier président après l’indépendance du pays, un révolutionnaire africain. Selon Maurice Robert à qui le dossier de la Guinée avait été confié par le pouvoir français, cité par un panafricain, des opposants guinéens avaient été armés et entraînés pour développent un climat d’insécurité en Guinée et renversent Sékou Touré.
C’est ce qui est prévu pour le Burkina Faso. Créer de l’insécurité afin de monter le peuple contre les autorités actuelles. Et la réussite de cette étape permettra de passer à l’étape suivante, celle de renverser le régime du Capitaine Ibrahim TRAORE et ensuite faciliter la prise du pouvoir par des personnes voulues par les impérialistes. Qui parle de l’impérialisme, par de la servitude, du pillage des ressources minières, d’insécurité constante avec le terrorisme, sans souveraineté ni développement.
Le peuple burkinabè doit rester ferme dans son engagement, afin de contrecarrer ces plans diaboliques et permettre au régime révolutionnaire de sortir le pays de la situation actuelle.
Justine Tambo