Dans le domaine de l’agriculture très essentiel pour l’économie nationale, des innovations ont été apportées favorisant ainsi sa révolution et lui permettant de jouer pleinement son rôle de booster de l’économie et de pourvoyeur d’emploi. Parmi ses innovations, l’introduction de nouvelles cultures à l’instar du blé autrefois considéré comme inadapté au sol burkinabè.
L’arrivée du capitaine Ibrahim TRAORE au pouvoir et sa détermination à métamorphoser ce secteur stratégique, sont en train de prouver le contraire de ce qui a été toujours affirmé par les anciens dirigeants et leurs alliés impérialistes. La phase d’expérimentation de la production du blé sur le territoire burkinabè évolue plutôt bien, et annonce de bons résultats avec déjà, des récoltes satisfaisantes.
L’homme de terrain, le fer de lance de la vision du chef de l’Etat pour l’agriculture, le commandant Ismaël Sombié ne s’est pas fait conter l’évènement. Il était encore sur le terrain précisément dans la province de la Comoé, région des Cascades pour assister à la séance de récolte mécanisée du blé arrivé à maturité. « On se demande comment ils ont fait pour nous convaincre que c’est impossible ? », a-t-il déclaré.
Pour ceux qui restent toujours sceptiques, le ministre a appelé à accorder de l’importance à la production locale, peu importe la culture. « J’invite les gens à prendre connaissance des chiffres liés aux importations de farines de blé et de produits dérivés. Ils comprendront l’importance de s’engager dans la production locale et de l’amplifier » a-il ajouté. La détermination des autorités ne s’arrête pas à l’appui technique pour la production.
Des stratégies de développement également par le gouvernement sous le leadership du président Ibrahim TRAORE, pour une commercialisation efficace de ces produits sur le territoire national en premier et ailleurs s’il le faut. Le peuple burkinabè est aussi appelé à consommer local afin de booster la production et la transformation locale de produits.
Nam Bouka