par Awa TOURE 
La ministre chargée de l’action humanitaire et de la solidarité nationale, le Commandant Passawendé Pélagie Kabré/Kaboré a véhiculé un message fort à l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits de la femme. Un message qui met un accent particulier sur les femmes victimes de la guerre contre le terrorisme, notamment les femmes déplacées internes.
« (…) j’ai une pensée spéciale pour toutes ces femmes déplacées internes de notre pays qui, malgré la situation difficile qu’elles vivent, continuent de se battre dignement pour améliorer leurs conditions de vie et renforcer leur résilience face aux chocs », a-t-elle affirmé dans son message de circonstance. Il faut noter que dans un contexte de menaces sécuritaires liées au terrorisme, les femmes et les enfants sont les plus vulnérables.
Raison pour laquelle les autorités du Burkina Faso, dans leur engagement pour l’éradication de ce fléau, accordent une importance capitale au bien-être des femmes notamment celles qui ont été obligée de quitter leurs localités pour se trouver un endroit plus sécurisé. Des efforts se déploient non seulement pour leur retour dans leurs localités d’origine, mais également pour leur créer de meilleures conditions de vie et de travail.
Les dirigeants du Burkina Faso, en tête le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE mettent tout en œuvre pour une sécurisation accrue et un développement effectif de l’agriculture, principales activités des femmes rurales et périurbaines. Raison pour laquelle l’édition 2025 de la journée des droits de la femme a été placée sous le thème national, « Crise sécuritaire et humanitaire au Burkina Faso : quelles stratégies pour promouvoir l’entrepreneuriat agricole des femmes ? »
Il faut souligner aussi que plusieurs actions humanitaires ont été menées en faveur des femmes déplacées, que la ministre Pélagie Kaboré a pris soin d’énumérer dans son message de circonstance. Des efforts vont se poursuivre donc pour l’épanouissement de ces braves et résilientes femmes du Burkina Faso.
Ayana G.