En matière de relations bilatérales et multilatérales, le leadership exemplaire et exceptionnel du président Faure GNASSINGNE est loué et salué par plus d’un. C’est ce leadership qui a prévalu également dans la gestion de la crise qui a secoué et continue de faire tache d’huile, au sein de la communauté Ouest-africaine. La position et la stratégie adoptées par le président du Togo face à cette crise, a fait de lui un homme de paix et de stabilité dans la sous-région.
Un comportement stratégique en matière de coopération et de relations, que le peuple uni du Sahel est loin d’oublier. En début du weekend dernier, le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE a réaffirmé à son homologue togolais, son appréciation positive de son leadership sur les questions de la sous-région. C’était à travers une délégation burkinabè dépêchée à Lomé, auprès du président Faure GNASSINGBE.
Ce n’est pas tout, le chef de l’Etat burkinabè a également réaffirmé sa fraternité et sa solidarité à son homologue du Togo. D’après les analystes, ce sont en réalité des valeurs essentielles qui doivent régir les relations entre tous les africains, en vue de mieux faire face aux défis de l’heure sur tout le continent. Il faut noter que grâce au leadership éclairé du président Faure GNASSINGBE, le Togo a gardé de très bonnes relations avec ses pays voisins, notamment ceux de l’AES qui ont été marginalisés par la plupart des pays Oust-africains.
Sur le plan de la sécurité, le Togo tout comme les trois pays de la Confédération de l’AES, fait face à des menaces terroristes et de l’extrémisme violent. Il importe donc, comme l’a si bien dit le président togolais lors d’une de ses interventions au sommet de la CEDEAO, que la coopération militaire entre les pays africains se prévale et se renforce pour mieux faire face à cette menace qui n’épargnera aucun pays, si rien n’est fait d’ici dix (10) ans.
Et pour le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE, il urge de briser les barrières frontalières en matière de lutte contre le terrorisme, pour ne laisser aucune chance de survie ni de cachettes aux ennemis communs. Ceci revient à l’unité et à la solidarité africaine évoquées ces dernières années à travers le continent par des leaders révolutionnaires et des panafricanistes. A cette étape de la lutte pour une Afrique libre, souveraine et prospère, une prise de conscience générale est donc nécessaire.
Robert Tali