Selon des informations officielles, la marathonienne ougandaise, Rebecca Cheptegei qui résidait au Kenya avait été brûlée devant ses enfants par son compagnon. Hospitalisée, celle qui a participé aux JO de Paris (et s’était classée 44ème) a rendu l’âme après quatre jours d’hospitalisation : elle a été brûlée à 80%, ses organes ont alors cessé peu à peu de fonctionner selon les médecins.

Cette mort tragique a ému plus d’un. Le commandant de police du comté de Trans Nzoia, Jeremiah ole Kosiom, a déclaré lundi que le partenaire de Cheptegei, Dickson Ndiema, avait acheté un bidon d’essence, l’avait versé sur elle et l’avait incendiée lors d’une dispute dimanche. Ndiema a également été brûlé et est traité au même hôpital.

Les parents de Cheptegei ont déclaré que leur fille avait acheté un terrain à Trans Nzoia pour être proche des nombreux centres d’entraînement athlétique du comté. Un rapport déposé par le chef local a indiqué que les deux étaient entendus en train de se disputer au sujet du terrain où sa maison avait été construite avant l’attaque.

Pour certaines personnes, la disparition de Rebecca Cheptegei souligne l’urgence d’une action plus effective pour protéger les femmes et prévenir la violence domestique. Cette tragédie met en lumière la nécessité de réformes pour garantir la sécurité des femmes et mettre fin à ces actes de violence insupportables.

La Rédaction

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