Une forte délégation de l’Institut africain pour le Développement de la Diaspora (ADDI) présente au pays des hommes intègres dans le cadre de la 21e édition de la Semaine Nationale de la Culture célébrée à Bobo-Dioulasso, s’est entretenue ce mardi 07 Mai, avec le président de la transition, le capitaine Ibrahim TRAORE.
Cette association de la diaspora africaine a pour mission principale, selon les informations, d’œuvrer pour le développement des peuples et l’unité en l’Afrique. Une mission qui cadre bien avec la vision du chef de l’Etat burkinabè, capitaine Ibrahim TRAORE. Quoi de plus juste donc que d’associer sa lutte pour l’émancipation du Burkina Faso, et l’unité africaine, à cette diaspora ?
Raison pour laquelle au cours de leurs échanges, le chef de l’Etat a convié les membres de cette association à un éveil de consciences. Selon lui, les africains de la diaspora sont les mieux placés pour faire comprendre aux autres l’Afrique et la nécessité pour les africains de s’unir pour non seulement développer leur cher et unique continent, mais également le libérer des mains de ses bourreaux.
Les membres de l’ADDI ont donc une mission importante, celle d’être des ambassadeurs pour l’éveil des consciences en Afrique. C’était également le lieu pour le président de la transition au Burkina Faso d’inviter l’ADDI à véhiculer l’image telle qu’elle, du pays des hommes intègres tel qu’il est.
Ceci permettra de contrecarrer les ennemis qui ont tendance à peindre le pays en noir, à le classer parmi les endroits le plus infréquentables au monde. Profitant de l’occasion, il a invité ses hôtes à investir au Faso, une terre d’opportunités aux énormes potentialités.
Clémentine Fadjo