Le comportement d’indifférence qu’adopte la communauté internationale et africaine face aux efforts des autorités de transition et aux exploits des forces combattantes au Burkina Faso, éveille des soupçons chez des analystes. Ceci en raison de son éternelle habitude à clamer haut et fort sa préoccupation de la sécurité des populations dans des pays en proie au terrorisme.
Le président de la transition, chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE est devenu aujourd’hui un leader et un exemple de patriote pour beaucoup de burkinabè et d’africain, en raison de son dévouement, de sa détermination et de son engagement ferme contre le terrorisme. Un engagement pas seulement verbal. Ses paroles sont toujours accompagnées des actes concrets.
Faisant de la situation sécuritaire dans son pays une priorité, le capitaine Ibrahim TRAORE met tout en œuvre pour l’atteinte des objectifs notamment la reconquête de l’intégralité du territoire national, la restauration de la paix et de la stabilité. C’est grâce à son dynamisme et à ses efforts, que les combattants du Burkina Faso mieux formés et équipés, enregistrent de très bons résultats sur le champ de bataille.
Des malfaiteurs sont désormais traqués jusqu’à leurs derniers retranchements. L’armée burkinabè inflige ces derniers temps de lourdes pertes aux groupes armés terroristes. Mais la suspicion émerge des esprits face au silence radio de ces personnes qui se prennent souvent pour des bon samaritaines envers les populations victimes du terrorisme.
Pourquoi ne réagissent-elles pas quand des actions visant à protéger ces populations donnent des résultats encourageants au Faso depuis plus d’un an déjà ? Ces résultats font de la transition l’ennemi des valets locaux et des parrains du terrorisme. Cette communauté en sait-elle quelque chose ? Juste une question de curiosité.
Il revient aux burkinabè et à tous les panafricains de faire preuve de vigilance et de prudence face aux menaces et aux manipulations, mais aussi d’engagement ferme, de détermination et de solidarité afin de poursuivre l’œuvre salutaire de libération de l’Afrique et de son développement effectif.
José Tougo