Instaurer une bonne gouvernance au sommet de l’Etat et dans les institutions publiques, éliminer les actes malveillants au sein de l’administration publique afin de mieux servir le peuple, c’est l’une des préoccupations du président du Faso, chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE et de ses collaborateurs. Pour y parvenir, de multiples mesures ont été prises.
A titre d’exemple, l’on peut citer la décision du président du Faso de faire de chaque fonctionnaire un acteur clé de la lutte contre la corruption et de veille pour le bon fonctionnement de l’administration. A cet effet, une mesure de contrôle a été instaurée incitant chaque agent à dénoncer les mauvais comportements et les actes de corruption.
Sous l’impulsion du chef de l’Etat, un Code de conduite pour le personnel de la présidence a été élaboré et une cellule anticorruption créée. Depuis mercredi 24 Juillet, le conseil des ministres présidé par le président du Faso, a acté la création d’une Commission de régulation des dysfonctionnements (CRD) dans l’administration publique.
Rattaché au cabinet du chef de l’Etat selon le gouvernement, cette commission aura pour mission de faire corriger ou de corriger par elle-même tout dysfonctionnement dans l’administration publique et ses démembrements. Plus précisément, la commission jouera le rôle de veille, afin de s’assurer de l’application effective des sanctions contre les fautifs, et aussi des recommandations.
Tout ceci, afin d’amener les fonctionnaires à donner le meilleur d’eux-mêmes et à ne penser qu’au bien-être de leurs concitoyens. Ceci évitera également la recherche d’intérêt personnel et permettra aux agents publics de cultiver le patriotisme, la loyauté et le don de soi pour la cause générale du pays.
Fabio Zanda